Question 1 :
Vers 700 avant JC, les civilisations de l'âge du bronze vont s'effacer
devant de nouvelles ethnies maîtrisant la métallurgie du fer, connue
depuis le IIème millénaire avant notre ère par les
Hittites d'Asie Mineure. Il s'agissait peut-être déjà des
Celtes qui seront bientôt à l'apogée de leur puissance.
Le berceau de la civilisation celtique se situe en Europe Centrale.
http://www.mairie-villeneuvedascq.fr/histoire/archeologie/archeoparc/flash/html/fer.html
Question 2 :
L'aluminium fut isolé pour la première fois
en 1825 par le chimiste danois Hans OERSTED lors d'une réaction
chimique impliquant un amalgame au potassium.
http://www.ac-versailles.fr/etabliss/herblay/briques/fr/fr_al.htm
Question 3 :
Toutes les cuves modernes fonctionnent sous une tension anode-cathode à
peine inférieure à 4 volts. Il serait en théorie possible
de construire un redresseur de courant, qui, partant du poste THT à 400
kV de l'usine, permettrait d'abaisser la tension et le redressement du courant
jusqu'aux 4 volts (continus) requis, avec, par exemple, 300 000 A soit une puissance
de 1,2 MW (mégawatt) par cuve.
http://www.progexpi.com/htm69.php3#ALIMENTATION
Donc l'intensité du courant est très élevée.
Question 4 :
Les aciers inoxydables jouent un grand rôle dans d'innombrables
domaines : vie quotidienne, industrie mécanique, agroalimentaire, chimie,
transports, médecine et chirurgie, etc. Comme les autres aciers, ce sont
des alliages de fer et de carbone auquel on vient ajouter du chrome et d'autres
éléments, notamment le nickel, mais aussi parfois le molybdène
et le vanadium, afin d'améliorer la résistance à la corrosion.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Acier_inoxydable
Question 5 :
Le plus connu est le Pyrex (1915) qui possède une bonne résistance
aux chocs thermiques. On en fait des ustensiles de laboratoire et de cuisine
(résistance à la chaleur et aux agents chimiques). Il sert
aussi pour l'isolation (fibres de verre) et le stockage de déchets radioactifs.
http://www.infovitrail.com/verre/types.php
Question 6 :
La majeure partie du verre plat produit dans le monde est désormais fabriquée
par le procédé Float développé par Pilkington au
début des années 1960, la capacité des lignes s'étalant
en moyenne de 350 à 750 tonnes par jour. Le cur du procédé
est le bain d'étain dans lequel le verre en fusion sortant du
four s'écoule sur un bain peu profond d'étain fondu. Le verre
s'étale sur l'étain pour former un ruban plat et lisse.
http://www.airliquide.com/fr/business/industry/glass/applications/tinbath.asp
Question 7 :
Depuis le XVIIIe siècle, date des premières productions, la notoriété
de la porcelaine de Limoges s'est développée au point que le nom
de la ville évoque instantanément l'art de la porcelaine.
Avant cette date, l'histoire de la céramique européenne peut être
considérée comme la longue recherche entreprise par l'Europe pour
percer le secret de fabrication de la porcelaine, découverte en Chine
à l'époque Tang. La fascination qu'elle exerça s'explique
en grande partie par le mystère qui parut longtemps miraculeux d'une
argile permettant d'obtenir, grâce à l'alchimie du feu, une matière
blanche, translucide, brillante et sonore.Même si les européens
maîtrisaient alors certains arts du feu tels que le verre ou la faïence,
il leur manquait un matériau indispensable, le kaolin, qui donne
à la porcelaine blancheur, dureté et translucidité.
http://www.musee-adriendubouche.fr/pages/page_id18540_u1l2.htm
Question 8 :
L' industrie de la céramique se développe à grande vitesse
et gagne même la noblesse et la cour royale. L'originalité réside
dans le savoir-faire qui contribue à la survie des manufactures. Desvres
a grande réputation dans le monde entier et produit des éléments
de fantaisie auxquels viennent s'ajouter les collections traditionnelles.
http://www.nordmag.fr/nord_pas_de_calais/desvres/desvres.htm
Question 9 :
On distingue, parmi les différents procédés employés,
pour la fabrication du savon, ceux qui s'opèrent de manière continue
et ceux qui s'opèrent de manière discontinue. Toutefois, quelle
que soit la technique mise en uvre, les graisses subissent une purification
et une décoloration, puis elles sont traitées à chaud avec
une lessive alcaline contenant de la soude ou de la potasse : c'est la saponification,
au cours de laquelle des glycérides présents dans les graisses
sont attaqués par la soude et se décomposent pour donner des sels
d'acides gras et de la glycérine.
http://operasavon.free.fr/fabrication.htm
Question 10 :
Le dichlore est un important produit industriel, il est surtout utilisé
en chimie organique. 45 % sert à la fabrication de plastiques et élastomères
(PVC, polyuréthanes...) ; 20 % sert à la fabrication de solvants
chlorés (par action de Cl2 sur un alcane) ; 25 % sert en chimie minérale
sous forme d'eau de Javel ou de chlorures.
Le dichlore (45 M t produits dans le monde par an) est principalement obtenu
à partir de l'hydrolyse des solutions aqueuses de chlorure de sodium.
NaCl a deux origines : l'eau de mer (1 tonne d'eau de mer contient 30 kg de
NaCl) et les mines de sel.
http://webpublic.ac-dijon.fr/pedago/physique/documents/chimie/EvolutionReaction/Electrochimie2.htm
Questions 11 et 12:
La plus connue des découvertes de Claude Louis Berthollet est
l'eau de Javel. Il a découvert les propriétés décolorantes
du chlore en 1789, tout en identifiant l'hypochlorite de sodium, soit
l'eau de Javel, NaClO.
Cl2 + 2 NaOH --> NaClO + NaCl + H2O
http://mendeleiev.cyberscol.qc.ca/chimisterie/2002-2003/MHRicher.html
Question 13 :
Alfred Nobel lègue ses biens à une fondation chargée d'en
distribuer chaque année les revenus comme prix à cinq personnes
ayant joué un rôle marquant dans les domaines de la physique, médecine,
chimie, littérature et paix.
http://www.infoscience.fr/histoire/biograph/biograph.php3?Ref=141
Il n'y a donc pas de prix Nobel de biologie.
Question 14 :
Synonyme(s) : Acétylsalicylique, acide ; Aspirine .
http://www.chu-rouen.fr/ssf/prod/acideacetylsalicylique.html
Question 15 :
Aujourd'hui, nous allons vous parler d'un produit qui est maintenant reconnu
mondialement, l'aspirine. C'est aux techniques médicinales des Amérindiens
que nous devons ce produit. Ces derniers avaient découvert que dans la
fleur reine-des-prés et dans l'écorce de saule, il y avait
une substance qui diminuait la fièvre. Cette substance nommée
l'enfant du saule est maintenant devenue l'aspirine. Plus tard, les Jésuites
ont mis la main sur la poudre de saule pour la monopoliser. Suite aux recherches
d'un pasteur nommé Edward Stone, au XVIIIe siècle (Angleterre),
le jeune chimiste de la compagnie allemande Bayer, Félix Hoffmann, a
découvert la présence de l'acide acétylsalicylique dans
cette poudre grâce à des recherches pour soulager les rhumatismes
articulaires de son père. En 1835, à Berlin, Karl J.Löwig
a réussi à isoler et à identifier l'acide salicylique comme
étant le principe actif d'une plante qui a des propriétés
antipyrétiques, c'est-à-dire qui fait tomber la fièvre.
On retrouve cet acide dans la fleur "spirée ulmaire".
http://mendeleiev.cyberscol.qc.ca/carrefour/rescol99/sbeaudoin.html
Question 16 :
Hormis les enzymes digestives, le pancréas produit également
une hormone importante, connue sous le nom d'insuline.
http://www.pankreasinfo.com/fr/organ.html
Question 17 :
Fleming comprendra presque instantanément l'intérêt
du pouvoir bactéricide de la pénicilline.
http://www.fundp.ac.be/bioscope/1928_flemming/flemming.html
Question 18 :
Ainsi, Prosper Ève, rappelle que "le paludisme était
une des principales causes de la mortalité dans notre île avant
la seconde guerre mondiale". Et en 1934, lorsque le docteur Raymond Vergès
fut nommé directeur du service de Santé de la colonie, il prit
ce fléau à bras le corps. "Il fit planter de nombreux pieds
de quinquina et fabriquer des pilules à base d'écorce de cette
plante, qui étaient ensuite distribuées aux élèves.
Cette action permit de sauver en particulier de nombreux enfants", affirme
le professeur d'Histoire à l'université.
http://www.temoignages.re/article.php3?id_article=11897
Question 19 :
Apulée, au 4e siècle, rédige "De
virtutibus herbarum" dans lequel il précise "si l'on doit couper
ou cautériser quelque membre, ou y porter le fer, que le patient boive
une demi once de mandragore dans du vin, et il dormira jusqu'à ce que
le membre soit coupé, sans éprouver aucune douleur".
Au moyen âge apparaissent les éponges soporifiques (ou somnifères)
; Saint Benoît, au Mont Cassin décrit en 880, l'inhalation à
usage somnifère et antalgique d'un mélange de mandragore jusquiame
et opium. Les moines italiens des 12è et 13è siècles tels
que P.Hugues à Lucca, Théodoric à Cervia, reprennent ces
modalités d'utilisation. Le réveil est obtenu par inhalation de
vinaigre. L'ouvrage de Guy de Chauliac "la grande chirurgie" (Montpellier
1363) analyse de nombreuses recettes dites "endormitives" à
base de mandragore, opium, ciguë, laitue, etc.
En cette grande époque de la magie et de l'alchimie, de nombreux bréviaires,
tels ceux de Villeneuve(1483), Bulléyn (1579), Della Porta (1588), Lemnius
(1660) ou Lémery (1738), mentionnent l'action sédative de la plante
et la possibilité de réalisation d'incisions lors de son administration.
A Londres, en 1597, J.Gérard, dans "History of plants" préconise
encore le vin ou l'infusion de mandragore pour son effet somnifère et
son effet "anodin" atténuant la douleur.
http://centreastro.com/xbm/viewthread.php?fid=1&tid=7866&action=printable
C'est donc l'insomnie.
Question 20 :
La couleur est extraite de l'indigotier (Indigofera tinctoria) un petit arbuste
au feuillage découpé qui appartient à une grande famille
de plus de 300 espèces réparties dans les régions chaudes
de l'Afrique, de l'Asie et de l'Amérique. Le principe colorant de l'extrait
fournit l'indigotine (bleue) mais aussi l'indirubine (rouge). La teinte est
plus ou moins pourprée selon la provenance.
La fabrication de l'indigo se fait dans l'eau en trois étapes :
· la fermentation des feuilles,
· l'oxydation du liquide obtenu par battage
· le recueil du précipité bleu formé, la fécule
qui permet le transport aisé sous forme de pains ou de carreaux.
http://www.meublepeint.com/bleus.htm
Question 21 :
Il s'agit de la "mauvéine" d'ou la couleur violette
découverte par william Henri Perkin en 1856 avec l'aide de son professeur
Hofmann.
Obtenu à partir d'un précipité noirâtre qui se dissout
en partie dans l'alcool
et on obtient une couleur pourpre(pourpre d'aniline)ou mauvéine.
http://forums.futura-sciences.com/archive/index.php/t-307-devinette-le-premier-colorant-artificiel.html
Question 22 :
E102 : Tartrazine (Jaune)
http://tpeconfiserie.free.fr/colorants.html
Question 23 :
Nous avons synthétisé de l'arôme de banane (acétate
d'isoamyle)
http://forums.futura-sciences.com/thread51300.html
Question 24 :
Pays provençal au charme discret avec la ville des parfums comme capitale,
le Pays Grassois constitue le plus beau balcon de la Côte d'Azur. Que
votre projet soit axé sur les loisirs ou les affaires, un passage à
Grasse s'impose, il vous laissera un souvenir inoubliable et une irrésistible
envie d'y revenir.
http://www.grasse-riviera.com/article.php3?id_rubrique=6
Question 25 :
Puis en 1839, Charles Goodyear découvre que le soufre permet de
fixer l'élasticité du caoutchouc et supprime un problème
resté jusqu'alors : le caoutchouc était un peu collant quand il
faisait chaud et devenait tout dur en hiver !
http://www.espace-sciences.org/science/20315-les-autres-rubriques/10081-questions-de-sciences/17174-la-nature/17183-generalites/20120-d-ou-vient-le-caoutchouc/
Question 26 :
Enfin en 1843, Hancock trouve qu'en trempant le caoutchouc dans le soufre à
110 degrés C pendant plus d'une heure, le caoutchouc garde son élasticité
et que si ce temps est prolongé il durcit. On appelle ce procédé
la vulcanisation.
http://www.espace-sciences.org/science/20315-les-autres-rubriques/10081-questions-de-sciences/17174-la-nature/17183-generalites/20120-d-ou-vient-le-caoutchouc/
Question 27 :
Le tennis de table s'est développé en tant que sport il y a un
peu plus de 100 ans avec l'apparition de la balle en celluloïd (matière
plastique que l'on peut façonner )
http://reflet.via.ecp.fr/~tennisdetable/Aspects%20techniques.html
Question 28 :
Le principe est simple : un litre de lait pèse environ 1032 grammes.
Lorsque l'on en retire l'eau, il ne reste que 127 grammes de matière
sèche dont 24 à 30 grammes de caséine, qui, mélangée
à plusieurs colorants, puis chauffée nous donne la galalithe.
De gala (lait) et lithe (pierre), cette matière est plus dure que la
corne, plus brillante que l'os et plus soyeuse au toucher que l'ivoire.
http://grenierb.free.fr/galalithe.htm
Question 29 :
En 1907, Léo Hendrix Baekeland décide d'étudier le résidu
goudronneux formé par la réaction entre le phénol et le
formaldéhyde. Il note que le résidu est dur et résistant
à la chaleur et aux solvants. Après de nombreuses expériences,
Baekeland peut annoncer en 1909 l'existence d'une nouvelle substance, qu'il
nomme Bakélite d'après son nom. Si cette substance n'est
pas le premier plastique, elle est certainement le premier plastique thermodurcissable.
Le premier plastique, le celluloïd, fut développé par John
Hyatt en 1869 comme substitut pour l'ivoire des boules de billard. Parce qu'elle
peut être moulé dans n'importe laquelle forme, la bakélite
a été utilisée à de nombreuses fins ; boîtier
pour téléviseur et radio, mais aussi isolateurs, bijoux et téléphone.
Le stylo doit son existence même à la bakélite. Il est juste
de dire que l'invention de la bakélite a fait démarrer le mouvement
pour le développement des plastiques modernes.
http://www.berliner.montreal.museum/engmainarchexpbakelite.htm
Question 30 :
Polyméthacrylate de méthyle : découverte en 1927 cette
matière, plus connue sous les marques "Altuglas®" ou "Plexiglas®",
possède une transparence exceptionnelle.
http://mainoc.free.fr/pages/Technique/plasti/categori/thplas/thplas.htm
Question 31 :
Les matières plastiques contenant des atomes d'azote (c'est le cas des
mousses de polyuréthane) brûlent en produisant un poison violent,
le cyanure d'hydrogène.
http://clg-schuman-44.ac-nantes.fr/physique/physdoc3.htm
Question 32 :
La première qualité du Teflon® est sa grande résistance
à la chaleur, soit 260 °C de température de service continue.
http://www.magazinemci.com/articles/chroniques/2004/08/teflon.htm
Question 33 :
Polyamide 66 (Nylon ...): Il est ainsi désigné parce que
chacun de ses constituants contient 6 atomes de carbone .Dans la fabrication
du PA 66 ,ces matières sont mélangées et le monomère
obtenue est polymérisé .Après la polymérisation,le
produit est durci en une matière solide translucide blanc-ivoire laquelle
est ensuite broyées en copeaux ,flocons ou en granules .Ces produits
sont fondus et extrudés à l'état fondu à travers
une filière pour former des filaments qui se solidifient rapidement sous
l'action d'un courant d'air froid .Les filaments sont ensuite étirés
dans le but de changer la disposition chaotique des molécules longues
en une orientation ordonnée dans la direction de l'axe des fibres .L'opération
d'étirage confère aux filaments de l'élasticité
et de la résistance.
http://memotextile.free.fr/Mati%E8res/les_classiques.htm
Question 34 :
Le polyamide 11 ou PA 11, obtenu à partir de l'huile de ricin. Marque
commerciale: Rilsan.
Confort d'utilisation: Bonnes propriétés isolantes; Touche doux,
ne provoque aucune allergie ; Très grande résistance à
l'humidité.
http://www.tissagesdelaigle.com/french/polyamide.php
Question 35 :
Fer de lance industriel, Rhodiacéta fabrique, dès le milieu des
années 1950, les quatre classes de la famille des synthétiques,
un polyamide (Nylon), un polyester (Tergal©), un polyvinylique (Rhovyl©)
et un polyacrilique (Crylor©). Après avoir fondé la société
Rhovyl en 1948, Rhodiacéta a en effet démarré la production
du Tergal© en 1953.
http://www.ihtp.cnrs.fr/dossier_mode/dossier_mode_guillaume.html
Question 36 :
LYCRA® appartient à la famille générique des
fibres synthétiques élasthanne (connues sous le nom de "spandex"
aux USA et au Canada). LYCRA® est disponible dans différentes brillances
et dans une large gamme d'épaisseurs ou deniers, aussi appelés
décitex. Le décitex est l'unité de mesure métrique
exprimant la masse, en grammes, de 10 000 mètres de fil. Le LYCRA®
le plus fin fait 11 décitex - plus fin qu'un cheveu humain - cela signifie
que 10 000 mètres de fil pèseront seulement 11 grammes. Le fil
le plus épais fait 2 500 décitex, il possède une très
grande élasticité et force de retour.
http://www.assingo.com/fr/frame/lycra/lycra.htm
Question 37 Pour les questions 37 à
40 : http://www.onisep.fr/national/fiches_metiers/asp/domaines/cadre.htm
Alors que se distillent, se mêlent ou se séparent les matières
chimiques, le conducteur ou la conductrice d'appareils de l'industrie chimique
veille à la bonne marche de la fabrication : il ou elle effectue des
rondes, surveille l'écran de sa console, détecte les anomalies...
Question 38 :
Pétrochimie, agroalimentaire, pharmacie, cosmétiques,
environnement... autant de secteurs d'activité où l'on retrouve
l'ingénieur chimiste, qui intervient depuis la conception des produits
jusqu'à leur commercialisation.
Question 39 :
Transmettre des connaissances à leurs étudiants, faire progresser
la recherche dans leur discipline : telles sont les missions des enseignantes
et enseignants chercheurs au sein d'une université ou d'une grande
école.
Question 40 :
Le technicien chimiste réalise des expériences, des analyses
ou des synthèses courantes selon un protocole défini.
http://referens.univ-poitiers.fr/version/men/emploi.asp?ID=B40002
Métallurgie, industrie cosmétique, industrie automobile... Nombreuses
sont les branches où le technicien chimiste réalise expériences
et analyses, participant ainsi à l'élaboration de nouvelles molécules.